[Note] – Traduction du terme « Gewehrgriff »

Dans l’article « Militärische Ausbildung » du HLS, écrit en allemand par Hans Senn, Laurent Auberson, traduit « Gewehrgriff » comme « maniement formel de l’arme ». Je n’ai pas trouvé de traduction dans le « TERMDAT – La banque de données terminologiques de l’administration fédérale ». La Tribune de Lausanne du 12 mars 1958 reprend en page 3 le communiqué du DMF sur l’abolition du « maniement d’arme » et parle de « mouvements de drill ».

Source de l’image : Wiktionary contributors, « fountain pen, » Wiktionary (accessed April 19, 2023).

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Les cadres du renseignement doivent repostuler pour garder leur job – Mais pas leur directeur

Le Service de renseignement de la Confédération (SRC) a choisi de modifier son organisation. Mesure spectaculaire: les membres actuels de la direction se doivent de repostuler s’ils désirent conserver leur poste de travail.

Si ma mémoire est bonne, à chaque réorganisation du DDPS, les cadres ont dû repostuler. C’est, toujours sur la base de mes souvenirs, surtout le cas lorsque les structures internes changent (DMF 95, Armée XXI / Groupement défense, …). Ce n’est donc pas si spectaculaire que cela.

Interview – L’Express: Guerre en Ukraine : l’intenable neutralité de la Suisse

Interview par M. Paul Véronique pour l’Express (Paywall).

La collaboration militaire de la Suisse avec ses voisins, l’Union européenne et l’OTAN dont il est question dans l’article, c’est naturellement la (re)vente de munition et d’armement. La Suisse collabore avec plusieurs partenaires, par exemple dans les domaine de la protection de l’espace aérien, de l’armement et de l’instruction. Cependant, les conséquences de la récente révision de la Loi sur le matériel de guerre et la volonté de privilégier une interprétation formelle de la neutralité pourraient s’avérer préjudiciables à la poursuite de ces partenariats.

 

 

January 20, 2013

Edit: As was pointed out in the comments, you can find self-archiving info for most journals at http://www.sherpa.ac.uk/romeo/ [h/t Laurent]

I have been a bit frustrated about scientific publishing, as you might have been able to tell if you read some of my earlier posts on open access in academia.  I posted earlier this week about Aaron Swartz and the legal predicament in which he found himself when he downloaded huge numbers of scientific papers.  I was frustrated at the lack of access that most people experience to academic publishing, but didn’t want to resort to breaking the law to remedy the situation.  However, a certain amount of that frustration could have been relieved had I just taken the time to figure out where the boundaries lie in the copyright documents that I sign when I publish papers.  I decided to have a look to see how many of my rights remain, and I was quite interested to find out that I can post a reasonable amount of information on the web without breaking any laws.  As ever, this isn’t legal advice.  However, there do seem to be a few generalities that others can use to guide the release of their publications depending upon the publisher that owns the journals within which their papers are published: