Together with Julie H., I presented a group work on the interaction between a course director and a course coodinator at GCSP.
2017a – « La commodification de l’armée de milice? La pensée stratégique au défi de l’approche gestionnaire » in Olsansky, Michael M. (dir.), Militärisches Denken in der Schweiz im 20. Jahrhundert La pensée militaire suisse au 20e siècle, Baden, Hier und Jetzt, pp. 122-205
The First Orientation Course for the Defence Attaché was inaugurated on 5th December, 2016 at KDU, and the Chief Guest of the opening ceremony of the course was HE Mr Heinz Walker Nerkoorn, the Ambassador of Switzerland in Sri Lanka and the event was graced by Air Marshal Kolitha Gunithilaka, the Chief of Defence Staff, Rear Admiral Jagath Ranasinghe, the Vice Chancellor of KDU and many distinguished guests. The course is held from 5th December to 9th December 2016 at the Faculty of Graduate Studies of KDU.
Le Col de Juyongguan, aussi connu comme Juyongguan en Chine, est situé à 20 kilomètres (12 miles) au nord de Chamgping County, environ à 60 kilomètres (37 miles) de Beijing. C’est un passage renommé de la Grande Muraille de Chine. Classé dans le « World Heritage Directory » en 1987, c’est un site placé sous la protection culturelle nationale.
Situé dans une vallée entourée de montagnes, le Col de Juyongguan a longtemps été une forteresse militaire. Dès la Période des Printemps et des Automnes (770 av. J.-C. – 476 av. J.-C.) et celle des Royaumes Combattants (476 av. J.-C. – 221 av. J.-C.), l’état Yan y construisit des fortifications. Pendant les Dynasties du Nord et du Sud (386-589), cette zone fut reliée à la Grande Muraille de Chine. Ce col servait de barrière naturelle aux capitales de la Dynastie Yuan (1271-1368) et Ming (1368-1644). Par conséquent, immédiatement après le début de son règne, Zhu Yuanzhang, le premier empereur de la Dynastie Ming, ordonna que ce passage soit réaménagé pour protéger les frontières des intrusions des troupes mongoles. Beaucoup de batailles eurent lieu dans le Col de Juyongguan.
Le col est à peu près circulaire avec un périmètre d’environ 4,142 mètres (environ 4,530 yards). Il comporte deux passages, un au sud, un au nord, respectivement appelés « Nan Kou » et « Badaling ».
Au milieu du Col de Juyongguan se trouve une haute plateforme appelée « la plateforme de nuage », qui est faite de marbre blanc. Sous la Dynastie Yuan, trois tours de pierre furent construites sur cette plateforme. À la fin de la Dynastie Yuan, elles furent détruites. Plus tard, un temple nommé « Tai’an » fut construit sur le site, mais il fut détruit durant le règne de l’empereur Kang Xi de la Dynastie Qing (1644-1911), après quoi seule la plateforme est restée. À l’intérieur de cette plateforme il y avait une porte voûtée. De part et d’autre de cette porte étaient sculptées les statues des quatre dieux célestes et les écritures sutra.
Le Col de Juyongguan n’est pas seulement une forteresse militaire, mais il est aussi un magnifique site pittoresque. Autour de ce col, des fleurs resplendissantes et des arbres luxuriants ponctuent les montagnes. Un paysage splendide ! Dès la Dynastie Jin (1115-1234), il fut nommé l’un des huit plus beaux paysages de Beijing.
L’actuel Col de Juyongguan fut construit sous la Dynastie Ming. Sous la Dynastie Qing, le travail de reconstruction fut négligé. Le Col fut rénové de 1992 à 2000.
Dans le cadre du 19th International Symposium Course qui a eu lieu du 17 octobre au 1er novembre à Beijing, j’ai été invité à participer au Seminar on Regional Security Challenges.
J’y ai présenté le Partenariat pour la Paix (PPP) comme A Mechanism for International Military Cooperation en montrant qu’il incarne des valeurs chinoises.
Bien sûr, faire une croisière nocturne sur la rivière Huangpu, peur s’apparenter à une visite d’affiches publicitaires, tant les façades vitrées de Pudong font office d’écran au socialisme de marché. D’autant que l’embarcation qui nous porte est moins un bateau mouche qu’un bateau sandwich, où chaque marche sert à afficher une publicité.
Both brigadier general Naser Al Maihrat and myself held a short welcome message where we stressed the importance of Defence Attaches as trust builders in the current challenging context.
The DA is an instrument of trust building
This course is an important tool of trust building
You are trust builders
{mp4}Jordanian TV on DA course 2016-11-06{/mp4}.
The Jodanian TV broadcasted a small clip showing the opening ceremoniy.
Pierre Streit m’a fait l’honneur et l’amitié de me demander de préfacer la nouvelle édition de son Histoire militaire suisse. Ci-dessous quelques extraits
Présentation d’une communication sur le thème « Une Suisse au-dessus de toute influence ? Impact des phénomènes nationaux et internationaux sur les réformes contemporaines des politiques publiques de défense suisses » dans le cadre du panel « Les politiques de défense comme politiques publiques »
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Présentation à la Base navale de Toulon, salle du Conservatoire de la tenue
Présentation du 6.6.2016 dans le cadre des journées d’études toulonnaises de l’Institut de Stratégie Comparée sur le thème BD, guerres et stratégie
Devant une assemblée attentive d’une quarantaine de persones, Christian Bühlmann a présenté le GCSP comme comme composante de la politique de sécurité suisse. La conférence a été suivie avec attention; les participants ont posé de nombreuses questions pertinentes et la discussion a pu se poursuivre pendant l’apéritif.
Quels sont les points communs entre la solidité du béton
et l’apparente fragilité du verre ?
Quels sont les points communs entre la fenêtre comme camouflage ornemental dessiné sur le toit de la Maison rose
et ces baies vitrées qui laissent entrevoir le Jura et les organisations internationales, mais aussi ces écrans géants qui ont aussi des fenêtres sur des espaces virtuels ?
Ces vitres, ces écrans accueillent le Centre de politique de sécurité de Genève, le GCSP. Et j’affirme que comme les toblerones et les fortins forment une ligne de défense terrestre contre les menaces d’hier, le GCSP forme une nouvelle ligne de défense avancée contre les menaces d’aujourd’hui et de demain.
J’argumente en trois points :
(1) Je rappelle que la ligne de défense est une composante incontournable de la défense suisse, et je montre les limites de la ligne de défense terrestre classique.
(2) Je présente ensuite les éléments du contexte actuel sur la base du nouveau projet de rapport de politique de sécurité, en montrant que les espaces s’étendent et que de nouveaux acteurs sont apparus, et qu’ils imposent de nouvelles réponses.
(3) Je montre ensuite que la Genève internationale en général, le GCSP en particulier, représentent de nouvelles lignes de défense dans la mesure où ils permettent de persuader et inspirer, en Suisse et à l’étranger, les valeurs humanitaires et pacifiques qui caractérisent la Suisse ; de donner une promouvoir des idéaux libéraux et fédéralistes ; de montrer que dans un État qui se base sur des valeurs républicaines, le citoyen et le soldat sont des acteurs incontournables d’une gouvernance démocratique.
…
Le monde a changé ; il nous apparaît plus complexe.
Il nous semble moins lisible.
Nous ne pouvons plus nous baser sur des planifications de défense détaillées, il faut pouvoir réagir avec des solutions modulables. Garder le souvenir de notre passé pour inspirer le futur.
Donner la Suisse non comme modèle, mais comme exemple.
Montrer que nos valeurs pacifiques, libérales et républicaines peuvent inspirer une gouvernance efficace et démocratique.
Être attentif aux les valeurs et les modèles de pensée culturelles des autres pour pouvoir les écouter et les comprendre.
Avoir des lignes de défense dans la profondeur, qui commence par la persuasion, l’inspiration et la compréhension.
Ainsi, le GCSP représente, comme la ligne de la Promenthouse par le passé, une nouvelle ligne de défense incontournable.
Une nouvelle ligne de défense
Le centre de politique de sécurité, Genève,
composante de la politique de sécurité suisse
L’idée que la Suisse, pays neutre, dépositaire des Conventions de Genève, ait pu chercher à développer une bombe atomique, peut apparaître insolite. Et pourtant, pendant la Guerre froide, la Confédération a effectivement lancé un programme militaire secret de recherches nucléaires. La conférence met en lumière les raisons principales pour lesquelles la Suisse a cherché à s’équiper de cette arme, les motifs qui l’ont finalement incitée à signer le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), puis contraste le développement suisse de l’époque avec celui, contemporain, des pays proliférants.
Christian Bühlmann (2016) « Christian Bühlmann (2016) « Guy Parmelin – Paul Chaudet: même combat? » Le Temps, vendredi 29 janvier 2016, page 9. Site Internet, 28.01.2016, Source : http://www.letemps.ch/opinions/2016/01/28/guy-parmelin-paul-chaudet-meme-combat