Morat – Fribourg

Première participation à cette course mythique.

Ma perception de cette compétition était marquée par le film de Raymond Vouillamoz, Ce fleuve qui nous charrie (1980), dans lequel, « Simon, la quarantaine, est contraint de participer à la course Morat-Fribourg » qui devient une épreuve cathartique. On m’avait aussi parlé d’un « mur », d’une montée sans fin. En bref, un chemin de Damas coté 6a+.

L’échauffement à Morat

La réalité fut toute autre. Départ calme, puis légère accélération au fil de la course pour terminer en 1h40, sans courbatures et sans grosse fatigue, après seulement cinq semaines d’entraînement. Pas de dévers, pas de vision religieuse mais une jolie course sans problème.

Sur_la_route

Le but se rapproche

Fribourg

Comment ? déjà arrivé ?